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Photo du rédacteurMarion Marten-Pérolin

Écrire pour le web : toute une stratégie

L'écriture est au coeur des stratégies éditoriales de nombreux sites qui répondent ainsi aux questions des utilisateurs. Si des robots peuvent créer des textes, avoir une "plume" est une arme de taille dans cette guerre de mots-clés.

Tout commence par une recherche sur la Toile. Cette requête peut être un mot, une expression ou une question. Arrivent en tête les annonces des boîtes qui payent pour être dans les premiers résultats (avec une stratégie SEA béton) et ceux qui se placent juste en-dessous (exit le petit mot "annonce") qui arrivent ici grâce à la pertinence de leur contenu SEO (et c'est là qu'interviennent rédacteurs, content managers, responsables contenus et tout et tout.)😎

Quelques clés pour l'écriture pour le web

Ecrire des articles pour le web, c'est répondre à cette recherche en proposant un contenu, qui soit meilleur que les petits copains. (Ecrire des articles pour le print c'est une autre histoire.) Et par meilleur contenu, je veux dire, un contenu riche, avec une certaine longueur, une bonne structure, des mots-clés variés et des expressions connexes. Des contenus qui répondent aux règles SEO (et en variant un peu les plaisirs). On peut se retrouver face à un fichier de requêtes et penser que l'écriture est seulement dictée par un robot et pour des robots.🤖 Que nenni. C'est là, la magie du verbe : le Content Manager s'en amuse en alliant SEO et créativité. C'est mieux.

Il faut alors réfléchir à l'intérêt de tel ou tel contenu pour son site, trouver le bon ton, la bonne stratégie, les bons sujets et contenus pour que l'article ne soit pas une déception amoureuse pour l'utilisateur. 💔

Par exemple, il recherche "comment augmenter son apport ?". Il faut lui répondre comment et ne pas simplement broder autour du mot-clé "apport personnel". Et là, mieux vaut avoir quelques billes pour ne pas dire n'importe quoi non plus ou simplement copier sur les copains (même si cela fait partie du jeu de regarder ce qui fonctionne chez les concurrents. Appelons un chat un chat). Il est donc nécessaire, je le crois, d'avoir une réelle connaissance du sujet, un certain niveau d'expertise. Pour ne pas raconter n'importe quoi ! Et, bien entendu, écouter les recommandations des experts SEO qui nous entourent. Cela reste un travail d'équipe. 💪🥰

Créer du contenu n'est d'ailleurs pas le seul enjeu des postes éditoriaux, mettre à jour et optimiser les contenus existants sont aussi des missions. Et cela peut être, ô combien, chronophage !

Une stratégie poids plume : ça pèse !

C'est le poids des mots. On les pèse, les juxtapose, les expose. On joue avec, on les assemble... mais encore faut-il qu'ils aient un sens. Pour que ça ne parte pas dans tous les sens, il faut donc une stratégie. Je l'appellerai, la stratégie "poids plume". 🖋

Pas besoin d'écrire des kilomètres de mots-clés, ni d'écrire 50 fois le même contenu : Google n'aime pas trop ça, les humains non plus. La stratégie "poids plume" sert les objectifs de la boîte en proposant des contenus qui font aussi un minimum plaisir à ses auteurs.


Ouais, c'est plus sympa quand on aime les sujets qu'on traite même si TOUS les sujets ne sont pas sexy. Mais c'est ma vision du truc et j'ai la chance d'avoir évolué dans un secteur que J'ADORE.

❤️🧡💛💚💙💜


Planifier, anticiper, réagir, enrichir : telles sont les clés pour écrire sur le web des contenus froids (pour les contenus chauds, il y a les journalistes, les vrais de vrai). Mais on ne peut pas ne pas tenir compte de l'actualité pour faire du contenu web. Il faut surfer sur elle et sauter sur les opportunités de trafic !

Pas besoin d'être un poids lourd, si on a une jolie plume, une expertise, de la volonté, une bonne organisation, une équipe de choc, de la curiosité, et surtout un certain amour pour les mots, les jolis mots, les mots désuets sans oublier les mots... clés !

Bisous

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